Skinhead Times: SPIRIT OF 69 FESTIVAL N°4 A BORDEAUX: Concert pré festival à l'Heretic Club le 13 Avril avec: POUTNIK BEAT (soul, bordeaux) THE ROCKIN' PREACHERS (rocksteady, bordeaux) SKA FE...
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mardi 10 avril 2012
SPIRIT OF 69 FESTIVAL N°4 A BORDEAUX
Skinhead Times: SPIRIT OF 69 FESTIVAL N°4 A BORDEAUX: Concert pré festival à l'Heretic Club le 13 Avril avec: POUTNIK BEAT (soul, bordeaux) THE ROCKIN' PREACHERS (rocksteady, bordeaux) SKA FE...
mardi 20 septembre 2011
lundi 12 septembre 2011
You Know that I'm no good
Meet you downstairs in the bar and hurt,
Your rolled up sleeves in your skull t-shirt,
You say “what did you do with him today?”,
And sniffed me out like I was Tanqueray,
’Cause you're my fella, my guy,
Hand me your stella and fly,
By the time I'm out the door,
You tear men down like Roger Moore,
I cheated myself,
Like I knew I would,
I told you I was trouble,
You know that I'm no good,
Upstairs in bed, with my ex boy,
He's in a place, but I can't get joy,
Thinking on you in the final throes,
This is when my buzzer goes,
Run out to meet you, chips and pitta,
You say “when we married”,
'cause you're not bitter,
”There'll be none of him no more,”
I cried for you on the kitchen floor,
I cheated myself,
Like I knew I would,
I told you I was trouble,
You know that I'm no good,
Sweet reunion, Jamaica and Spain,
We're like how we were again,
I'm in the tub, you on the seat,
Lick your lips as I soak my feet,
Then you notice likkle carpet burn,
My stomach drops and my guts churn,
You shrug and it's the worst,
Who truly stuck the knife in first
I cheated myself,
Like I knew I would
I told you I was trouble,
You know that I'm no good,
I cheated myself,
Like I knew I would
I told you I was trouble,
Yeah, you know that I'm no good
Son
nom était presque celui d'un pub anglais, Winehouse, comme “maison du pinard”.
Son son, lui, était résolument celui d'un pub anglais: la sono braillarde qui
s'époumone à couvrir le bruit des grandes gueules du comptoir, des champions du
billard, des cadors du petit commerce douteux, tombée du camion
C’est
le samedi 23 juillet en milieu d'après-midiqu’elle est morte.
Back to Black, plus de rehab,
de manière définitive cette fois : des années d'errance extrême, d'overdoses et
de cures à répétition, d'alcoolisme et de scandales publics, de travail
chaotique et de disparitions soudaines, l'impossibilité artistique d'offrir une
suite à l'album qui l'avait propulsé en pleine lumière avaient malheureusement
dessiné un destin sombre pour l'Anglaise de 27 ans. L'annulation récente d'une
tournée de quelques dates cet été, après une prestation plus que catastrophique
à Belgrade, n'avait donc été que l'ultime signe que plus rien désormais n'irait
dans le bon sens pour le diamant, finalement très noir, de la soul britannique
moderne.
Un
refrain d'Amy Winehouse contenait à lui seul plein d'épisodes de soaps
anglo-anglais, de kitchen-sink dramas, ces films noirs, coléreux et déprimés du
Royaume post-guerre : diva affaissée, elle aurait par exemple pu chanter à
pleine poitrine arrogante dans le pub, ce centre de vie d'Eastenders, le feuilleton immortel qui
fait croire à l'éternité de ces poulbots londoniens aux rites complexes, aux
accents à couper au couteau – et qui règlent au canif les histoires de filles
ou de motos.
C'est là que vivait Amy Winehouse, chanteuse de pub, Castafiore du
lump-prolétariat, braillant sa soul-music super méchante, son jazz rafistolé,
sa pop déclassée: un genre de Piaf devenue corbeau, poil et idées noirs.
lundi 27 juin 2011
kicca & intrigo
Toute droite sortie des années 60, cette chanteuse italienne (installée en France depuis quelques années) aurait pu être l’égérie du grand couturier André Courrèges, tant son style, sa présence électrisante, nous captivent d’emblée. Vocalement, on pense à Eartha Kitt, Nancy Wilson ou Diana Ross mais très vite les références s’estompent pour laisser place à cette chanteuse féline, originale et totalement enthousiasmante. Avec Intrigo, son groupe animé par l'imprévisible Oscar Marchioni aux claviers, le frénétique Hervé Samb à la guitare et le puissant Salah Khaili à la batterie, elle nous plonge dans ces années d’insouciance heureuse, entre soul, jazz et boogaloo.
mercredi 11 mai 2011
Bob Marley 30 qu'il est mort
You may not be her first,her last, or her only.She loved before she may love again.
But if she love you now, what else matters ?She’s not perfect- you aren’t aither,
and the two of you may never be perfect together
but if she can make you laugh, cause you to think twice, and admit to being human and making mistakes,
hold on onto her and give her the most you can.
She maybe not be thinking about you every second of the day,
but she will give you a part of her that she knows you can break-her hearth.
So don’t hurt her, don’t change her, don’t analyze and don’t expect more than she can give.
Smile when she make you happy, let kown her when she makes you mad, and miss her when she’s not there
mardi 10 mai 2011
Jewels SKA festival
Un bon festival qui s’annonce et encore une fois à Rennes.
Rock’n solex, Dance ska la….à croire que Rennes est un peu la ville à festivals.
Au passage je mets aussi le lien vers Rudy’s Back : toujours très bien informé niveau concerts et toujours strictly antifa
vendredi 29 avril 2011
play list pour le week end
Le week approche, un apéro de prévu ce soir.
Donc voila ma petit play liste pour danser jusqu’au but de la nuit
1.Skatalites - Man in the street
2.Harry J All stars - Liquidator
3.Toots and the Maytals - Pressure drop
5.Pat Kely - I comming home
6.The Wailers - Simmer down
7.Prince Buster - Ten commanders
8.Jimmy Cliff - Ska all on the word
9.Justin Hinds and Dominies - Carry go bring come
11.Dennis Brown - Say mama say
12.King Tubby - (basically everything)
13.I-roy - Commandment IV Waiting in Vain
14.The Specials - Ghost town, A message to you rudie
15.Selecter - Three minute hero
16.Madness - Our house
17.Yellowman - Jamaica nice
18.Polemic - Skank
19.Polemic - Rudie
20.Shabba ranks - Can dun
21.The Chancers - (basically everything)
22.Aggrolites - Dirty reggae
23.Ska2tonics - Mafia
24.Valkyrians - Rankin full stop
mercredi 30 mars 2011
mardi 1 février 2011
Old Reggae Friends 86 Crew
mercredi 8 décembre 2010
dimanche 5 décembre 2010
lundi 22 novembre 2010
Northern soul keep the faith
Dénommée à l'origine Rhythm & Soul puis Rare Soul, la Northern Soul, issue d'un mouvement né dans le nord de l’Angleterre, d’où son nom de baptême, tire en fait ses racines de la musique Soul.
A la fin des années 1960, après des années de gloire, la furie Tamla et Motown commence à décliner et de nouveaux styles musicaux émergent alors (funk, sweet soul etc. ), principalement sur la scène Londonienne.
Mais les Soul fans et les clubs du nord de l’Angleterre persistent à vouloir n’écouter que du son des années 1960 traditionnel plus proche du «Motown sound» des origines que des productions d’alors.
Les djs se tournent alors vers des titres différents mais avec ce «beat» insistant et particulier qui caractérise la Northern Soul. C'est ainsi qu'ils commencent à découvrir de plus en plus de «nouveaux» morceaux répondant à ces caractéristiques et qu'ils deviennent les véritables stars de cette scène musicale naissante.
En réalité, le terme «nouveaux» était anachronique car il s’agissait souvent de morceaux sortis aux États-Unis quelques années auparavant et ayant fait un bide commercial (souvent faute de promotion plus que par manque de qualité).
Il ne manquait plus qu’un nom à cette tendance musicale qu'en 1970, Dave Godin, journaliste musical plus qu’influent baptisa «Northern Soul» (*).
Après avoir épuisé toutes les sorties britanniques, les DJs et vendeurs commencèrent à écumer les États-Unis et à importer des originaux américains (45 tours) en masse afin de satisfaire un public toujours plus exigeant et prêt à se déplacer pour découvrir ces trouvailles lors des «Allnighters», ces soirées «toute la nuit» et organisées aux quatre coins du pays dans des salles de bal des années 1920 souvent décrépies, ou dans des arrières salles de pubs.
Le Twisted Wheel, le Torch, les Catacombs, le Blackpool Mecca et surtout le Wigan Casino attireront ainsi des dizaines de milliers de fans tout au long des années 1970, le Wigan Casino comptant, à son apogée, plus de 100 000 membres.
* The Northern Soul Top 500, Kev Roberts © 2000, page 13
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A la fin des années 1960, après des années de gloire, la furie Tamla et Motown commence à décliner et de nouveaux styles musicaux émergent alors (funk, sweet soul etc. ), principalement sur la scène Londonienne.
Mais les Soul fans et les clubs du nord de l’Angleterre persistent à vouloir n’écouter que du son des années 1960 traditionnel plus proche du «Motown sound» des origines que des productions d’alors.
Les djs se tournent alors vers des titres différents mais avec ce «beat» insistant et particulier qui caractérise la Northern Soul. C'est ainsi qu'ils commencent à découvrir de plus en plus de «nouveaux» morceaux répondant à ces caractéristiques et qu'ils deviennent les véritables stars de cette scène musicale naissante.
En réalité, le terme «nouveaux» était anachronique car il s’agissait souvent de morceaux sortis aux États-Unis quelques années auparavant et ayant fait un bide commercial (souvent faute de promotion plus que par manque de qualité).
Il ne manquait plus qu’un nom à cette tendance musicale qu'en 1970, Dave Godin, journaliste musical plus qu’influent baptisa «Northern Soul» (*).
Après avoir épuisé toutes les sorties britanniques, les DJs et vendeurs commencèrent à écumer les États-Unis et à importer des originaux américains (45 tours) en masse afin de satisfaire un public toujours plus exigeant et prêt à se déplacer pour découvrir ces trouvailles lors des «Allnighters», ces soirées «toute la nuit» et organisées aux quatre coins du pays dans des salles de bal des années 1920 souvent décrépies, ou dans des arrières salles de pubs.
Le Twisted Wheel, le Torch, les Catacombs, le Blackpool Mecca et surtout le Wigan Casino attireront ainsi des dizaines de milliers de fans tout au long des années 1970, le Wigan Casino comptant, à son apogée, plus de 100 000 membres.
* The Northern Soul Top 500, Kev Roberts © 2000, page 13
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